Et pourtant, les critiques sont nombreuses (cf. mon précédent post https://plus.google.com/+ChantalBergeon/posts/WTLxBfJT4iy) :
- "Si elle est généralisée, cette mesure pourrait modifier fortement
la gestion des flux, en augmentant les effectifs de la voie générale au
détriment de la voie professionnelle."
-
"En donnant la main aux parents,
au lieu d’avoir une revalorisation de l’enseignement professionnel, on risque
d’avoir en fait plus d’élèves s’orientant vers l’enseignement général".
-
"Tout déléguer aux parents serait
un aveu d’impuissance, et un refus, de la part de l’institution, d’assumer ses
responsabilités."
-
"Cette mesure participe à la
destruction de l’autorité de l’école. Parlons peu mais bien : on retire aux
professionnels qui ont côtoyé l’élève pendant plusieurs années parfois, qui
l’ont évalué selon mille facettes, la possibilité de dire « non ». Sous un
salmigondis d’arguments pédagogos, on laisse partir en 2nde GT certains élèves
qui sont condamnés d’avance à couler."
- "Si on laisse choisir les parents, les lycées
professionnels vont se vider, c’est sûr, et ne va-t-on pas assister à un
glissement des problèmes, en l’occurrence vers la classe de seconde générale?."